Réguler, c’est sortir des tensions (interne/externe) pour recentrer le dialogue sur les faits, le travail réel et des solutions applicables. Notre posture de tiers de confiance apaise les échanges entre direction, managers, représentants du personnel et institutionnels. Nous objectivons les situations (constats, indicateurs, preuves), clarifions « qui fait quoi, quand, avec quels moyens » et mettons en cohérence vos obligations (DUERP, AT/MP, procédures) avec les contraintes du terrain. Résultat : décisions acceptées, risques sociaux et juridiques atténués, trajectoire claire. Nous cadrons la démarche avec une feuille de route courte (jalons, responsabilités, livrables) pour que chaque partie voie des progrès rapides sans se perdre dans la paperasse. Notre boussole : apaisement durable + conformité auditée + efficacité opérationnelle.
Quand les points de vue se tendent, nous instaurons un cadre de médiation clair : règles d’écoute, objectifs, périmètre, calendrier. Nous décentrons le débat des positions vers le travail concret (postes, charges, rythmes, EPI, co-activités) pour objectiver les irritants : écarts de pratiques, défauts de moyens, consignes ambiguës, interfaces mal définies. À partir de preuves (observations, photos, AT/MP, contrôles), nous co-construisons des engagements réciproques : mesures immédiates (sécurisation, clarification), chantiers courts (aménagement, modes opératoires), projets (re-design, substitution). Chaque engagement est daté, attribué, suivi et traçable. Cette discipline évite les discussions sans fin, réduit la conflictualité et revalorise le rôle des encadrants comme acteurs de solution. Les représentants du personnel disposent d’un fil de preuves qui crédibilise la démarche et protège toutes les parties.
Face aux demandes des institutionnels (courriers, mises en demeure, contrôles), nous construisons des réponses argumentées appuyées sur des faits : état des lieux sourcé, plan d’actions priorisé, preuves (photos, PV, attestations), calendrier et suivi. En amont d’une inspection, nous réalisons un pré-audit documentaire (DUERP, registres, consignes, formations) et un tour terrain ciblé pour lever les écarts rapidement. Le jour J, tout est classé, cohérent, accessible ; les interlocuteurs sont briefés et parlent un langage commun. Après inspection, nous closons méthodiquement les observations : actions correctives, vérification d’efficacité, compte-rendu partagé. L’enjeu : réassurer l’autorité, protéger l’entreprise et accélérer la sortie de crise sans coûts cachés.
Une tension mal gérée peut coûter cher (absentéisme, turnover, litiges, image). Notre approche préventive vise à réduire l’exposition : qualification des risques (sociaux/juridiques), mesures conservatoires proportionnées, communication contrôlée, traçabilité des arbitrages. Nous élaborons avec vous un plan de régulation relié aux priorités sécurité (TMS, co-activités, consignations) et aux impacts business (qualité, continuité, délais). Quand le droit et le terrain se percutent, nous traduisons les exigences en consignes applicables : courtes, visuelles, testées au poste. Ce réalisme apaise les équipes, renforce la crédibilité de la direction et réduit le risque contentieux. Les parties prenantes retrouvent une visibilité sur les étapes et les résultats attendus.
Nous ajustons les recommandations pour qu’elles soient faisables : choix entre suppression/substitution, protections collectives, organisation, puis EPI en dernier recours. Nous confrontons chaque mesure à vos cadences, équipements, compétences disponibles et interdépendances (maintenance, logistique, clients). Objectif : éviter les plans théoriques inapplicables et livrer des gains rapides (sécurisation, ergonomie, flux) sans perturber l’activité. Chaque action est éclairée par un ratio impact/effort, un coût estimé et un responsable identifié. Cette transparence facilite l’accord entre les parties, accélère l’exécution et réduit les contournements.
Réguler exige un pilotage lisible. Nous proposons 3–5 KPI maximum : écarts relevés/levés, taux d’actions tenues, IF/IG (si pertinent), presqu’accidents déclarés, participation aux rituels (quarts d’heure sécurité), retours de médiationclôturés. Les revues mensuelles (30 min) tiennent la cadence : point sur les preuves, arbitrages, messages internes. Un tableau de bord visuel (kanban + indicateurs) remplace les présentations interminables. Cette gouvernance rassure les représentants du personnel, soutient les managers et aligne la direction sur des résultats vérifiables.
Dès que le dialogue se fige, que les positions se durcissent ou avant une inspection sensible. Un tiers facilite le retour aux faits et au terrain.
Direction, managers, représentants du personnel et, selon les sujets, référents sécurité. Un cadrage clair évite les débordements et crédibilise les décisions.
De la mission flash (quelques semaines) à un accompagnement au fil de l’eau, selon l’ampleur et les enjeux. L’essentiel : jalons visibles et preuves.
Oui : la traçabilité protège toutes les parties (internes et externes) et accélère la sortie de crise.